Au programme : 3 jours d’animations, de rencontres, d’expositions, de spectacles mais aussi des librairies, un café, etc. Tout ça pour accueillir les jeunes de corps et/ou d’esprit, pour célébrer les histoires, et pour s’amuser ensemble autour des littératures jeunesse. (Programme complet ici)
Partenaire de l’événement, nous vous proposons de découvrir une partie des auteurs et artistes qui seront présents ce 3,4 et 5 mai à l’Area 42 à travers les œuvres disponibles dans vos bibliothèques.
“Le château des étoiles” d’Alex Alice – Rue de Sèvres (en cours)
Et si le ciel était tel qu’on l’imaginait voici 150 ans, plein de merveilles et de promesses, si près qu’on pourrait le toucher du doigt, à bord des fantastiques machines qui s’élèvent sous le regard d’un roi, au-dessus des tours du Château des étoiles ?
Une BD à découvrir tout le week-end dans une exposition ludo-éducative
“Ma mie Forêt” d’Ici Baba – Stakhanova (2014)
Ce dimanche 5 mai, Samir Barris et Catherine De Biasio proposent un spectacle lumineux, cre?atif et participatif et nous invitent a? nous promener dans une fore?t qui rece?le de petites merveilles. Le « couple-orchestre » s’en va fla?ner dans le sous-bois munis de leurs multiples instruments ainsi que de compositions personnelles et de reprises aux accents folk-pop-reggae-bossa chaleureusement festifs. Avec beaucoup de naturel et de sensibilite?, il vise a? partager un bon moment musical, a? chanter ensemble, a? danser, et surtout a? rire et a? s’amuser.
“La marche du baoyé” de Sigrid Baffert – MeMo (2018)
Il ne reste pas grand-chose de la vie de Tiago et de son frère Grand Ouji, de P’pa et M’ma, les fermiers Manké. Un arrosoir, une machine à coudre et un peigne, des objets jetés en vrac sur une carriole de fortune, aux côtés du dernier baoyé, un arbre aux onze fruits juteux, appelé Monsieur B. Les Déracineurs ont tout avalé, jusqu’à la moindre parcelle de leur ferme. Alors, Tiago et sa famille ont dû prendre la route. C’était ça ou crever.
Un roman illustré à découvrir lors d’une rencontre littéraire autour de la Collection Polynies des éditions Mémo en présence de Chloé Mary, éditrice de la collection Polynies chez Mémo, et les auteur/trices Nastasia Rugani, Emile Cucherousset, Sigrid Baffert.
« Les petits orages” de Marie Chartre – L’école des Loisirs (2016)
Depuis un an, la vie de Moses Laufer Victor a changé. Il y a les signes extérieurs, la jambe blessée, les boutons qui explosent sur son visage comme des volcans, et la rage incontrôlée qui s’exprime comme elle peut. Un jour, au lycée, arrive Ratso, un Indien. Il a ses secrets lui aussi, il a sa colère. Mais il a surtout besoin que Moses l’accompagne à Pine Ridge, pour rendre visite à sa soeur. Parce que chacun, à sa façon, doit sortir de sa réserve.
Des textes sensibles et d’une grande justesse et surtout une auteure à découvrir d’urgence lors de la rencontre “On sait lire, mais laissez-nous les images !” de ce dimanche qui tentera de répondre à différentes questions. Pourquoi continuer à alimenter en images les jeunes lecteurs ? Pourquoi un enfant qui “sait lire” devrait-il ne lire que de “vrais livres” ? Pourquoi la littérature illustrée, les albums, la bande dessinée restent considérés des sous-genre alors qu’il offrent une telle créativité aux littératures jeunesse ?
“Ariol” de Marc Boutavant et Emmanuel Guibert – Bayard (en cours)
Est-il encore nécessaire de présenter Ariol? Le petit âne, bien connu des plus jeunes, sera ce week end la vedette du “Ariol Show”, une version live musicale, joyeuse et espiègle de la bande dessinée à succès.
“L’île du disparu” de Max de Radigues – Sarbacane (2018)
Le moment est venu : comme leurs parents et grands-parents avant eux, Stig et Tilde doivent partir sur une île déserte pour y survivre par eux-mêmes pendant un mois.
Sauf que ça s’annonce mal : leur bateau s’échoue sur la mauvaise île, et Tilde découvre d’étranges têtes de bois sculpté dans la forêt. Il semblerait que cette île soit habitée…
Max de Radigues participera tout le week-end, avec la dessinatrice Elosterv, à une performance de dessin en live pour la fresque “2019, année des meufs”.
“Moi Canard” de Fanny Dreyer et Ramona Badescu – Cambourakis (2016)
Parce que l’on grandit, on cherche sa place, sa place, son petit chez soi. On se construit seul face au monde, accompagné des êtres rencontrés au bord du chemin.
Un récit initiatique, poétique, loin de l’apitoiement, qui prône l’émancipation et conteste l’ordre établi. Vilain canard deviendra cygne. Petit homme deviendra grand…
Fanny Dreyer sera présente samedi à l’atelier “Pantin” qui proposera de créer son pantin de papier à partir de pochoirs.
« Tibor et le monstre du désordre » de Noémie Favard – Versant Sud Jeunesse (2016)
“- Tibor, c’est quoi ce capharnaüm ? Allez, range ta chambre !
– Un cafard-homme ?
C’est sûrement lui le responsable de tout ce désordre…”
Un album à découvrir tout le week-end au travers d’une exposition et dimanche avec son auteure dans un atelier créatif de gravure sur tetra pak.
“Contes au carré” de Loïc Gaume – Thierry Magnier (2016)
Un vrai coup de coeur des vos bibliothécaires. “Un recueil audacieux, où une quarantaine de contes, de La princesse au petit pois à Barbe bleue en passant par Les trois petits cochons, sont racontés en quatre cases seulement !”
L’album est décliné dans une exposition ludique, interactive et didactique imaginée par l’auteur qui propose cinq activités pour jouer autour des contes et de leur langage. Une expo tout public à découvrir samedi et dimanche…et bientôt à la bibliothèque 1001 pages.
“Bjorn le Morphir” de Thomas Lavachery – L’école des Loisirs (En cours)
La neige est méchante en cet hiver 1065, elle a décidé de s’en prendre aux hommes. Afin d’échapper à la Démone blanche, Bjorn et sa famille se claquemurent dans la salle commune de la maison de son père, Erik, le colosse sans peur. Tous se préparent à supporter un siège qui risque de durer de longs mois. Un classique de la littérature fantastique de jeunesse.
Thomas Lavachery participera à la rencontre “On sait lire, mais laissez-nous les images !” de ce dimanche qui tentera de répondre à différentes questions. Pourquoi continuer à alimenter en images les jeunes lecteurs ? Pourquoi un enfant qui “sait lire” devrait-il ne lire que de “vrais livres” ? Pourquoi la littérature illustrée, les albums, la bande dessinée restent considérés des sous-genre alors qu’il offrent une telle créativité aux littératures jeunesse ?
D’autres animations et rencontres seront également proposées autour des auteurs et/ou oeuvres suivants:
“Yasmina et les mangeurs de patates” de Wauter Mannaert – Dargaud (2019)
“Summer kids” de Mathieu Pierloot – L’école des loisirs (2018)
“Tous les héros s’appellent Phénix” de Nastasia Rugani – L’école des loisirs (2014)
“Hiro hiver et marshmallows” de Marine Schneider – Versant Sud (2018)
“Seuls” de Fabien Vehlmann – Dupuis (en cours)
“Un ours à l’école” de Jean-Luc Englebert – L’école des loisirs (2017)